Dianna Agron ♥	Mojitos	Réceptionniste au Lullaby

Jileen Puppy Emerson

Money Money Donc moi c'est Jill', je viens de Miami et je suis née le 23 mai 1988. J'adore LES HOMMES parce que c'est plus fun comme ça ! On dit de moi que je suis amusante, sincère et souriante ou sinon que je suis curieuse, têtue et indécise. Mais moi je pense que je suis surtout parfaite. J'ai en horreur le fait de me réveiller naturellement cinq minutes avant que le réveil ne sonne mais par contre j'adore croquer la vie à pleine dents. Et je pense que Miami est ma ville natale. Sinon ce que je pense du Lullaby c'est que : c'est pas si mal d'y travailler, on peut y faire de chouettes rencontres.

It's fantastic Salut moi c'est pearlizz ou jess, je viens de Belgique et j'ai 21 ans. J'ai décidé de rejoindre ST parce que je suis faible et je suis plutôt contente du résultat ! J'ai hâte de pouvoir jouer ma petite Jill'. Je pense que je pourrais passer 5 JOURS sur sept et j'ai connu le forum grâce à une demoiselle qui a le don de trouver des surnoms particuliers à tout le monde. Je fais environ 600 - 700 mots par Rps. Le code du règlement est : Leen est ok !!.

All of this line across my face

Dites nous simplement votre caractère, vos manies, vos peur, tout ce qu'on doit connaître de vous.

souriante - est incollable en matière de dessins animés - joueuse - rancunière -est allergique aux chats mais adore ces petites bêtes, elle serait incapable de se séparer de Stan, un chaton qu'elle a récupéré il y a quelques mois - têtue -drôle - est accro au café, mais ne peut plus en boire depuis qu'elle est enceinte, la simple odeur lui donne la nausée - mange pour dix - adore se balader en chaussettes -adore cuisiner, mais est incapable de réussir une quelconque recette - franche -est incapable de rester en place plus de trente secondes - est une fan inconditionnée de chaussures, elle ne compte même plus le nombre de paires qu'elle possède - ne sait pas s'empêcher de danser ou chanter quand elle entend de la musique - généreuse -son film préféré ; Bridget Jones. Elle connait toutes les répliques par cœur - adorer rire -jalouse - est très très proche de sa soeur, même si celle-ci vit de l'autre côté de l'océan - déteste être seule - adore s'affaler dans le canapé devant des émissions débiles -chante pas trop mal - pourrait avaler des litres de cookie dough de ben & jerry's -est une bonne nageuse - rêvait de faire des études d'histoire mais n'a jamais repris après son accident - n'est ni accro au téléphone portable ni à tout ce qui est réseau social - possède également un chien qu'elle a appelé Stitch -peut être un véritable garçon manqué de temps en temps - et être une adorable demoiselle propre sur elle la seconde d'après -spontanée - croque la vie à pleine dents - peut être de bon conseil, mais est incapable de les appliquer elle-même - adore aller au cinéma -dors encore avec un ours en peluche.

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Dites nous tout de vous dans un minima de 25 lignes

« Jill' arrête, fais pas ça ! Si maman te voit, tu vas encore être punie. » Je regardais ma sœur, un léger sourire au coin des lèvres. Je m’apprêtais à passer par la fenêtre de la chambre pour aller récupérer Melon, le chat de la maison qui avait, une fois de plus, trouvé le moyen de se coincer sur le toit. « Tu vas aller le dire aux parents ? » Tout sourire avait disparu de mon visage et j’offrais à ma sœur un regard presque embué de larmes. « Ben non, mais peut-être qu’elle te verra d’en bas. Et puis tu pourrais tomber, j’ai pas envie que tu tombes moi. » « Je vais pas tomber Texou, tu le sais, j’y vais souvent sur le toit. Puis Melon, il est coincé, si j’y vais pas il va rester là. » Un nouveau sourire espiègle éclaira mon visage. Avery avait horreur que je l’appelle comme ça, mais c’était son surnom. Surnom que je lui avais attribué après avoir vu un épisode de Tex Avery. Elle me regardait avec cet air sérieux, mais je savais qu’elle ne dirait rien de plus. Parce qu’il n’y avait rien à dire de plus et que quoi qu’elle dise, je finirai par y aller sur le toit. « Aller, viens avec moi. Je vais pas savoir le faire rentrer toute seule. » Puis sans un mot de plus, je m’éclipsais de la vision de ma jumelle pour aller rejoindre le fameux chat. Une minute plus tard, ma sœur me rejoignait et nous amenions le chat à l’intérieur. Ca a toujours été comme ça avec Avery. J’étais celle qui avait le don de se mettre dans des situations improbables, j’étais la casse-cou, elle était la réfléchie et ce depuis notre plus jeune âge. Et bien qu’elle soit la plus réfléchie, j’arrivais toujours à l’emmener avec moi dans mes plans foireux, comme elle avait l’habitude de les appeler. On se complète. L’eau et le feu. La terre et l’air. Ma sœur, l’une des personnes les plus importantes à mes yeux.

Le vent qui me frappe au visage, faisant voler mes cheveux dans tous les sens. Je me sentais bien et libre en cet instant précis, jusqu’à ce que la voix de ma sœur vienne me sortir de mes pensées. « Puppy, j’te promets descend de là, tu me fais flipper. » Un large sourire étira mes lèvres et je laissais même échappé un léger rire. Nous étions en route pour la plage, une virée entre potes pour fêter la fin de l'année. Avery avait tenue à prendre le volant, histoire de pouvoir profiter de son cabriolet. Et c’est ce que je faisais. Je m’étais levée et prenais appuie sur le pare-brise pour profiter pleinement de l’air marin. « JILEEN PUPPY EMERSON, si on se fait arrêter par les flics, je prendrai pas ta défense et tu te débrouilleras pour payer l’amende... Fais pas comme si tu ne m’entendais pas, tu souris comme une idiote, assieds-toi ! » Effectivement, je souriais comme une idiote, avant d’éclater de rire. Ca m’amusait de voir ma sœur s’égosiller ainsi, mais je m’exécutais finalement, reprenant place convenablement sur le siège passager. Je jetai un coup d’œil par-dessus mes lunettes de soleil en direction d’Avery. « T’es une rabat-joie, tu le sais au moins ? » La brune tourna la tête vers moi, me lançant un regard que je savais incendiaire malgré les larges lunettes noires qui cachait ses yeux noisette. « Tu t’ennuierais si je n’étais pas comme ça ! Et mets ta ceint... » Ceinture... J’aurai dû l’attacher directement. Le réflexe qu’on a tous quand on monte en voiture, mais je n’avais jamais eu ce réflexe. Il fallait toujours qu’on me rappelle à l’ordre. Cette fois-ci il était trop tard. Avery, trop occupée à me faire la morale n’avait pas vu la voiture piller sec juste en face de nous et à la vitesse où nous roulions, le choc fut fatal. On m’a retrouvé à quelques mètres de la voiture, inconsciente avec de multiples fractures. Si j’avais eu l’intelligence de mettre ma ceinture plus tôt, je serai restée aux côtés de ma sœur et je m’en serai probablement sortie comme elle. Je ne m’en suis pas sortie comme elle. Je ne me suis pas réveillée lorsque les secours sont arrivés, pas plus après les quelques opérations auxquelles j’ai eu droit. Il m’a fallu trois ans. Trois longues années avant que je ne ré-ouvre les yeux.

Trois ans à mener ce combat intérieur. Trois ans à me battre contre ce corps qui ne répondait plus à rien, mais j’ai finalement réussis à reprendre le dessus. Ce jour, je m’en souviendrai probablement toute ma vie. J’avais ouvert les yeux sur une chambre remplie d’ours en peluche, tous plus différents les uns que les autres. Il y avait aussi une grande partie de mes effets personnels, tous se trouvant au départ dans ma véritable chambre. Je laissais vaguement mon regard vagabonder dans la pièce avant de me rendre compte qu’Avery était installé dans le fauteuil à mes côtés. Elle était recroquevillée sur elle-même, une couverture recouvrant entièrement son corps, laissant simplement un petit bout de visage dépassé. La date que nous étions ? Je n’en avais pas la moindre idée. Pas la moindre idée non plus de l’heure qu’il était, bien qu’à voir la lumière extérieure, il ne devait pas être midi. Je continuais de regarder autour de moi, essayant de me rappeler ce qu’il s’était passé. Assemblant les pièces du puzzle pour essayer de comprendre pourquoi j’étais là. Finalement, du bruit se fit entendre du côté de ma sœur et je tournais lentement la tête dans sa direction. Ses yeux s’écarquillèrent et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle était à mes côtés. « Jill ! T’es réveillée ! T’es là... Tu... » Elle s’agitait, ne sachant quoi faire. Je voyais qu’elle hésitait à me prendre dans ses bras. Je levais alors difficilement la main, pour qu’elle l’attrape. Des larmes se mirent à couler sur ses joues. « Je suis là... Pleure pas s’il te plaît. » Ma voix était pâteuse, ça me faisait mal de parler, de bouger. Normal paraît-il. « Comment veux-tu que je ne pleure pas... » Ajouta-t-elle dans un sourire, tout en continuant de pleurer. Elle finit par s’installer à mes côtés, et nous avions discuté pendant tout un moment. Enfin discuter est un bien grand mot. Avery parlait et je l’écoutais, acquiesçant de temps à autre. Elle m'expliqua que ça faisait trois ans que j'étais dans cet état, qu'elle s'en voulait pour l'accident, mais je l'avais aussitôt stoppée. La seule responsable de mon état, c'était moi et personne d'autre. Elle avait ensuite enchérit en m'expliquant qu'elle avait renoncer à l'Europe pour rester à mes côtés, ce qui me fit culpabiliser d'autant plus. L'Europe elle en parlait depuis qu'elle avait quatorze ans, c'était son plus grand rêve et elle l'avait abandonné par ma faute. Le reste de la famille était ensuite arrivé, tout un tas de médecins également. C’est ainsi que je compris que j’avais eu droit à pas mal d’opérations. C’est tout ce que j’ai retenu, les médecins avaient utilisés des termes bien trop compliqués pour que je retienne exactement tout ce qu’il m’était arrivé. Le principal étant que je sois toujours en vie et enfin réveillée.

Il a fallut plusieurs semaines avant que je ne puisse quitter l’hôpital. Bizarrement, suite à mon retour à la maison, mon père avait fait en sorte de pouvoir passer plus de temps à la maison, histoire que l’on puisse passer plus de temps en famille. Et la vie a repris son cours normal. Il m’a fallut un peu de temps pour que je puisse reprendre mes marques, mais tout s’est fait assez facilement. J’étais bien entourée. Par ma famille du moins. Les amis, eux avaient été là au début, mais avaient finis par ne plus y croire, venant de moins en moins, ils avaient finis par ne plus venir du tout. J’en ai revu quelques uns, mais tous avaient pris des chemins différents. Quelques mois après mon retour, Avery a finis par quitter la maison. J’ai certes, du la pousser un peu, mais elle a finie par s’envoler pour l’Europe. De mon côté, j’ai commencé à avoir une vision différente de la vie. J’ai toujours été du genre à m’amuser, à rigoler, à prendre la vie du bon côté, mais cette épreuve m’a permis d’avancer différemment. De profiter encore plus de la vie, de faire les choses qui me plaisent quand j’en ai envie parce que dans le fond, on a qu’une seule vie et peut-être que demain, on ne sera plus là pour en profiter. Et c’est un peu dans cette optique que j’ai fais la connaissance de celui qui deviendrait mon premier amour. Macéo... Je revenais d’une soirée avec des amis et nous étions passé par devant le commissariat. Il faisait chaud cette nuit-là et j’avais eu l’envie folle de plonger les pieds dans la fontaine qui se trouvait au beau milieu du rond point juste en face du poste de police. J’avais donc traversé pour rejoindre la fontaine sous les regards amusés de mes amis restés sur le côté. « Oh allez quoi, venez... Qu’est ce qu’on risque. » J’étais dans la fontaine, chaussures à la main et je les regardais avec un petit air de défi tandis qu’ils rigolaient entre eux. « T’es juste devant le commissariat, ce qu’on risque c’est de se faire embarquer. » « Ouais d’ailleurs, y en a un qui rapplique. » Je me retournais alors pour constater qu’effectivement, un policier arrivait. Je laissais échapper un léger rire avant de reporter mon attention sur mes amis qui venaient de reprendre leur route. « Bande de lâcheurs ! » Avais-je alors crié à leur attention avant qu’une voix s’élève derrière moi. « Ils n’ont pas tout à fait tord... » Je me retournais pour finalement faire face au jeune homme, un large sourire amusé étirant mes lèvres. Ce visage... Je le connaissais. « Vous pourriez sortir s’il vous plaît ? » Macéo. Macéo Prescott. Ce sportif aux yeux d’ange qui m’avait fait craquer durant de longs mois il y a quelques années et dont je n’aurai cessé de parler dans mon journal intime si j’en avais tenu un. Et pour toute réponse, je me contentais de sourire plus largement, les yeux pétillants de malice. « Sinon ? » « Sinon, je serai dans l’obligation de vous emmener au poste. » Une petite moue déforma mon visage. « Outch... » Puis je laissais finalement échapper un léger rire avant de faire quelques pas dans l’eau, pas décidée pour autant à sortir. En jetant un nouveau coup d’œil au jeune homme, je remarquais son demi-sourire comme s’il était partagé entre l’amusement et l’exaspération et je ne pu m’empêcher de rire une nouvelle fois. « Vous m’emmèneriez vraiment ? C’est pas comme si je la dégradais ou quoi que ce soit... Je prends juste un bain de pieds. » J’affichais l’un de mes plus beaux sourire, essayant d’être le plus convaincante possible, mais il ne semblait pas vouloir en démordre. « Vous voulez vraiment que j’emploie la manière forte ? » « La manière forte ? » Il me désigna du doigt la paire de menottes attachée à sa ceinture, un petit sourire au coin des lèvres et un nouveau sourire amusé illumina mon visage. « Les menottes ? J’en serai ravie. » Un éclair de malice traversa mon visage avant que je ne fasse quelques pas de plus dans la fontaine. Finalement, je prenais la direction du bord, tendant une main vers mon interlocuteur. « Très bien... Vous seriez au moins assez gentleman pour m’aider à sortir ? » Son sourire ne l’avait pas quitté et il attrapa ma main. Main que j’attirai à moi pour le faire tomber à l’eau dans un nouvel éclat de rire. Inutile de chercher ce qui m’était passé par la tête à ce moment précis, moi-même je ne le sais pas. Mais il m’était sympathique et bien que je savais pertinemment que ça m’attirerait quelques soucis, d’autant plus à la vue du regard qu’il m’avait lancé en se relevant, mais j’avais envie de m’amuser. Finalement dans une légère moue, je m’approchais du jeune homme, mains en avant et poignets liés en signe de résignation. « Cette fois-ci je me rends vraiment. Promis, je vous embête plus... » J’affichais un mince sourire, avant qu’il ne m’entraîne hors de la fontaine puis vers le commissariat où j’ai passé la nuit. Nuit durant laquelle je n’avais pu m’empêcher de titiller l’agent. Cela m’amusait et bien qu’il tentait de rester sérieux autant qu’il le pouvait, je voyais bien que tout ça l’amusait lui aussi.

C’est comme ça que tout à commencer avec Macéo. Il m’a emmené plus d’une fois passer la nuit la nuit derrière les barreaux mais même comme ça, j’arrivais à le taquiner, je le rendais fou et j’adorai ça. On a commencé à flirter ensemble, à se donner des rendez-vous n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il me devenait indispensable, j’avais besoin de sa présence à mes côtés. Amoureuse ? Sans nul doute, même s’il faut l’avouer cette relation me faisait peur. Ma première véritable relation amoureuse, je n’avais jamais été plus loin que le simple flirt avant de tomber dans le coma. Avec lui, c’était bien plus qu’un simple flirt. Je peux le dire, ma première fois a été magique. J’étais heureuse, ça a durer un an... Rien ne portait à croire que je puisse tout plaquer du jour au lendemain sans réelle explication, juste une envie de voir ailleurs, de profiter de ma jeunesse que j’avais sortit. Il n’en était rien. Les nausées à répétition et cette fichue bandelette qui m’avait annoncée que j’étais enceinte, voilà l’explication. J’ai pris peur et j’ai rejoins ma sœur en Europe pour quelques jours. Je ne voulais pas que ce bébé vienne gâcher ce que nous avions tous les deux, que Macéo m’échappe en apprenant la nouvelle, alors j’ai préféré tout plaquer moi-même. J’ai fini par revenir à Miami après une petite semaine, Avery me poussant à lui avouer la vérité. Mais je ne pouvais pas tout lui raconter, je ne savais pas moi-même ce qu’il en était de cette grossesse, si je le voulais vraiment ce bébé. Alors je restais enfermée à l’appartement, ne sortant qu’en cas d’extrême nécessité, j’avais réussis à obtenir un congé à l’hôtel, à mon plus grand soulagement. J’ai finis pas reprendre deux semaines plus tard, décidant d’assumer pleinement ma grossesse. Certes, je ne me sentais pas prête à être mère, mais je n’avais tout bonnement pas capable d’ôter la vie à un petit être qui n’a rien demandé. L’identité du père reste pourtant secrète. Je sais que les rumeurs vont de bon trains, mais je m’en fiche, si ça leur fait passer le temps, tant mieux. J’entame mon troisième mois de grossesse, Macéo n’est toujours pas au courant et je commence sérieusement à me dire que je devrais le faire, mais je flippe. On ne s’est plus revu depuis notre rupture et je me vois mal débarquer la bouche en cœur pour lui dire tout ça... Enfin bon. L’essentiel pour le moment c’est que tout se passe bien.

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Ce que j'aime J'aime la spontanéité de Jill, Le fait qu'elle profite de la vie comme ça L'histoire est trop bien écrite *o* Avery me fait rire XD L'accident m'a donné des frissons J'ai ris au passage de la fontaine DES BEBEEEEEEEEESSSS MDR enfin un bébé ! C'était parfait

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